Note : 4/5
4ème de couverture :
"You can transmute love, ignore it, muddle it, but you can never pull it out of you."Visiting Italy with her prim and proper cousin Charlotte as a chaperone, Lucy Honeychurch meets the unconventional, lower-class Mr. Emerson and his son, George. Upon her return to England Lucy becomes engaged to the supericilious Cecil Vyse, but she finds herself increasingly torn between the expectations of the world in which she moves and the passionate yearnings of her heart.
Avis :
J'avais acheté ce roman il y a déjà quelques temps, sans avoir encore eu le courage de le lire. Pourtant, il n'y a pas si longtemps, je me suis jetée dessus et je l'ai commencé, sans même y penser. L'histoire est assez attirante et il ne faut pas se fier au tout début du bouquin. Il faut avancer petit à petit. On découvre des personnages représentatifs de la société de l'époque (1908), certains drôles, d'autres plus angoissants. On est partagés entre émotion et rire, devant les erreurs et inepties proférées par quelques-uns des protagonistes.
L'anglais ici est très difficile. Disons qu'il faut prendre son temps pour bien suivre chaque phrase, chaque mot, tout replacer dans un contexte spécifique. C'est pourquoi je n'ai mis que 4. Non pas parce que la langue était peu aisée à lire - quoique magnifique, évidemment - mais parce que je pense le relire plus tard, avec un vocabulaire et une aisance toute nouvelle vis-à-vis de l'anglais. Toutefois, il y a certains très beaux passages ; le style, quoique complexe, est agréable et parfois très explicite (ou très implicite). Bref, je trouve que c'est un roman complet et un classique à lire pour ceux qui se sentent le courage de le faire !
Si l'on a l'impression d'une histoire à l'eau de rose, il ne faut pas non plus croire que ça dégouline de sentiments. C'est aussi le questionnement de soi-même, la question du conformisme, de la situation de la femme dans une Angleterre où elles ne sont pas totalement émancipées. L'émancipation de Lucy passe par l'amour.
Je conseille l'édition Penguin : les notes en fin de bouquin sont très utiles. Et la police est agréable à lire ! Le roman est assez court : moins de 200 pages.
L'anglais ici est très difficile. Disons qu'il faut prendre son temps pour bien suivre chaque phrase, chaque mot, tout replacer dans un contexte spécifique. C'est pourquoi je n'ai mis que 4. Non pas parce que la langue était peu aisée à lire - quoique magnifique, évidemment - mais parce que je pense le relire plus tard, avec un vocabulaire et une aisance toute nouvelle vis-à-vis de l'anglais. Toutefois, il y a certains très beaux passages ; le style, quoique complexe, est agréable et parfois très explicite (ou très implicite). Bref, je trouve que c'est un roman complet et un classique à lire pour ceux qui se sentent le courage de le faire !
Si l'on a l'impression d'une histoire à l'eau de rose, il ne faut pas non plus croire que ça dégouline de sentiments. C'est aussi le questionnement de soi-même, la question du conformisme, de la situation de la femme dans une Angleterre où elles ne sont pas totalement émancipées. L'émancipation de Lucy passe par l'amour.
Je conseille l'édition Penguin : les notes en fin de bouquin sont très utiles. Et la police est agréable à lire ! Le roman est assez court : moins de 200 pages.
Il faudrait que je suive ton exemple: lire en anglais ! ^^
RépondreSupprimerJ'ai acheté quelques livres en anglais ^^
RépondreSupprimerJ'ai vraiment envie de faire cet effort mais je suis sure que je les lirai très lentement, que j'en saisirai seulement le sens global et ainsi je ne profiterai pas pleinement ma lecture T_T
Mais je vais me motiver !! :p